Cet article s’adresse à tous ceux qui se sentent nostalgiques des débuts de l’énergie solaire. Que vous possédiez un ancien système ou que vous soyez un installateur travaillant sur un tel système, vous vous demandez peut-être remark l’entretenir ou le moderniser. Nous nous pencherons sur le passé et verrons à quel level les choses ont changé, en soulignant les améliorations qui ont rendu les installations solaires plus sûres et plus efficaces au fil des ans.
Réflexions sur les débuts de l’énergie solaire en Australie
Avec le recul, il est vital de voir les progrès réalisés par l’industrie solaire, notamment en Australie. Les systèmes solaires connectés au réseau existent depuis la fin des années 90, lorsque les pratiques d’set up étaient encore en cours de développement.
À l’époque, de nombreux systèmes étaient adaptés à partir de configurations hors réseau et connectés au réseau par des électriciens agréés utilisant la norme AS3000 comme information principal. Les normes étaient vagues, laissant une grande marge d’interprétation.
Je me souviens de certaines installations que j’ai réalisées en 2009 et, en y repensant, certaines des methods que j’utilisais alors me laissaient perplexe, notamment avec les isolateurs de toit. Aujourd’hui, les pratiques et les normes de sécurité se sont beaucoup améliorées. Explorons remark ces normes ont évolué et le rôle clé qu’elles ont joué pour rendre les installations solaires plus sûres et plus fiables.

Il s’agit d’un système datant de 2013, au tout début de la mise à la terre. Il y a eu des problèmes de démarrage, automobile tout le monde s’est habitué aux nouvelles exigences.
Une époque de normes laxistes et de courbes d’apprentissage difficiles
Aux débuts de l’énergie solaire, les normes d’set up étaient beaucoup plus simples qu’aujourd’hui. Les premières variations des normes AS/NZS 5033 et AS/NZS 4777.1, publiées vers 2005, étaient brèves et manquaient de détails par rapport aux directives complètes d’aujourd’hui. Bien que basiques, ces premières normes ont jeté les bases de la croissance de l’industrie, contribuant ainsi à guider installateurs à travers le paysage émergent des réseaux connectés systèmes solaires.

Un isolateur CC sur le toit qui a été exposé aux éléments pendant environ 8 ans – signes évidents de dégradation.

Les colliers de serrage en acier sont devenus une méthode populaire de fixation des câbles réseau en place après 2012, lorsque les colliers de serrage en PVC n’étaient pas autorisés comme principal moyen de fixation du câblage réseau.
Des améliorations de la mise à la terre aux câbles plus sûrs
Au fil des ans, les principales évolutions des normes solaires ont été motivées par des améliorations en matière de sécurité et de technologie. En 2012, la mise à la terre obligatoire de tous les panneaux et modules est devenue une amélioration majeure en matière de sécurité, tout comme l’utilisation de colliers de serrage en acier et d’isolateurs de toit. D’abord introduites à Victoria, puis à l’échelle nationale, ces règles ont rendu les installations plus sûres. Cette année-là, des câbles solaires spécifiques (PV1-F) ont également été exigés dans les conduits HD pour les lignes CC, ajoutant ainsi un niveau de sécurité supplémentaire.

Une set up de 2011 – le câblage CC n’est pas classé CC ou PV1-F.
En 2014, une limite de 600 volts a été fixée pour la stress proceed dans les maisons (augmenté à 1000V ces dernières semaines) améliorant la sécurité et exigeant un accès restreint pour les websites commerciaux au-delà de cette limite.
Les changements ultérieurs comprenaient des règles plus strictes pour les interrupteurs principaux en 2016, des carénages plus grands pour les isolateurs de toit en 2018 et des normes plus strictes pour les isolateurs CC en 2019.

Un système CC dépassant 600 volts – accès restreint assuré par une cage.
Remark les factors de déconnexion simplifient les installations
Les installateurs ont accueilli favorablement la Introduction des factors de déconnexion en 2022automobile il éliminait le besoin d’isolateurs de toit et réduisait le temps d’set up. Cependant, ce changement signifiait également que les conduits CC ne pouvaient plus circuler librement dans les cavités du toit, une restriction qui, bien que difficile au départ, a été acceptée pour la sécurité supplémentaire qu’elle apporte.

L’étiquette du conducteur d’un level de déconnexion : certains installateurs ont dû s’habituer à cette nouvelle méthode. Cette étiquette ne permet pas de déconnecter le connecteur.
Ces changements ont changé la façon dont les installations sont réalisées et ont posé des défis aux installateurs et aux inspecteurs qui doivent s’adapter aux nouvelles normes. Pourtant, chaque changement a contribué à rendre les installations solaires plus sûres et plus fiables.
Se memento des jours difficiles d’autrefois
Un installateur nommé Campbell, qui installe des panneaux solaires depuis 16 ans, m’a dit :
« Je me souviens très bien d’une journée d’été particulièrement chaude en 2015, alors que je me débattais pour installer un isolateur de toit sur un toit à forte pente. Le travail était difficile, non seulement en raison de la chaleur et de l’angle, mais aussi parce que l’isolateur ajoutait une complexité inutile à une set up déjà difficile. Lorsque les factors de déconnexion ont été introduits en 2022, je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à ce jour, réalisant à quel level les installations sont devenues plus faciles et plus sûres. »
Principaux enseignements tirés
Au fur et à mesure de l’évolution des normes solaires, plusieurs leçons importantes ont émergé. L’une d’elles est apparue au début de la dernière décennie avec la règle limitant les optimiseurs ou micro-onduleurs jusqu’à 350 watts sans isolation CC. À l’époque, les panneaux de 350 W semblaient lointains, mais bientôt les tailles de panneaux ont dépassé 330 W et ont atteint 400 W, provoquant une confusion quant à la conformité. La règle a depuis été supprimée, mais ce fut une dure leçon pour l’industrie.
L’significance de se conformer aux normes solaires
En repensant au parcours des normes solaires, il est clair que le secteur a parcouru un lengthy chemin depuis ses débuts, moins réglementés. Chaque changement, qu’il s’agisse d’une petite modification ou d’une refonte majeure, a rendu les installations solaires plus sûres et plus fiables. Même si le chemin n’a pas toujours été easy (il a nécessité des ajustements, des débats et parfois des retards frustrants), ces normes en constante évolution reflètent une volonté de faire mieux.
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