Alors qu’Eskom célèbre 75 jours sans délestage, la plus longue période depuis décembre 2021 à février 2022, une crise plus profonde se profile. Même si la compagnie nationale d’électricité a considérablement amélioré ses capacités de manufacturing, évitant les pannes et améliorant la disponibilité de l’énergie, elle est confrontée à un problème essential : la rentabilité.
Les difficultés financières d’Eskom
Malgré l’amélioration des performances opérationnelles, Eskom a du mal à réaliser des bénéfices. La demande pour son électricité diminue régulièrement à mesure que de nouveaux producteurs d’énergie entrent sur le marché. Cette state of affairs oblige Eskom à augmenter continuellement ses tarifs pour couvrir les ventes perdues et répondre aux besoins opérationnels. Cependant, ces hausses de prix risquent de faire fuir les shoppers, déclenchant potentiellement une « spirale de la mort » dans laquelle le service public se retirerait lui-même du marché.
Nato Oosthuizen, partenaire de BDO Afrique du Sud et skilled en énergies renouvelables, a souligné cette préoccupation, la qualifiant d’« éléphant bien éclairé dans la pièce » au milieu des progrès en matière de délestage.
- Affect sur le secteur privé: À mesure que le secteur privé devient une supply d’énergie de plus en plus implantée pour les ménages et les industries, la baisse des revenus d’Eskom deviendra de plus en plus évidente.
- Contrainte financière: « Cela pourrait entraîner des difficultés financières encore plus difficiles pour Eskom, et certaines décisions difficiles devront peut-être être envisagées, telles que la restructuration des entreprises et peut-être même des licenciements – une décision qui aurait des effets d’entraînement politiques », a noté Oosthuizen.
Un problème persistant
Oosthuizen n’est pas le premier à soulever ces inquiétudes. L’ancien PDG d’Eskom, Andre de Ruyter, a averti que les hausses annuelles massives des prix du service public finiraient par se retourner contre eux. Il a noté que les shoppers qui en ont les moyens s’éloigneront du réseau d’Eskom, laissant seuls ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter l’électricité dépendre du service public. Ce scénario nécessite des hausses de prix mais conduit à des conséquences inévitables.
Eskom est déjà confrontée à une importante crise de non-paiement, les shoppers municipaux devant des dizaines de milliards de rands. Cette dette constitue un défi de taille et il n’est pas facile de la rétablir.
Le passage aux énergies renouvelables
L’skilled indépendant en énergie Mohammed Madhi a souligné que les sources d’énergie renouvelables sont de moins en moins chères, tandis qu’Eskom proceed d’augmenter les prix. Cette disparité désavantage Eskom, faisant de ses coûts de manufacturing d’électricité inefficaces un fardeau pour les shoppers.
- Perte de demande permanente: L’analyste énergétique Pieter Jordaan a noté une perte permanente de demande sur le réseau d’Eskom d’environ 1 500 MW, ce qui se traduit par 13 TWh, soit 6,5 % des ventes perdues en 2024.
Controverses tarifaires
Les demandes tarifaires d’Eskom visent à refléter le coût de manufacturing de l’électricité. Cependant, cet argument tarifaire reflétant les coûts s’est heurté à d’importantes résistances, notamment de la half de Nersa, le régulateur énergétique du pays. Nersa affirme qu’Eskom a abusé de cette notion dans le cadre de la méthodologie tarifaire actuelle.
- Compte de compensation réglementaire (RCA): Dans le cadre du système actuel, Eskom peut demander de futures hausses tarifaires en fonction des coûts opérationnels et des revenus de vente projetés. La RCA surveille ces coûts et revenus et les équilibre. Cependant, compte tenu de la state of affairs financière d’Eskom, la RCA a toujours favorisé le service public, ce qui a conduit à des hausses de tarifs annuelles plus élevées.
- Augmentations récentes: Dans un contexte de délestage file et d’une profonde crise financière, Nersa a approuvé des hausses tarifaires de plus de 18 % pour 2023/24 et de 12 % pour 2024/25.
Critiques des events prenantes
Les events prenantes soutiennent que la RCA n’encourage pas une utilisation efficace de la capacité de manufacturing. Nersa et d’autres critiques affirment qu’Eskom a abusé du mécanisme de récupération.
- Coûts du BCGT: L’inclusion des coûts des generators à gaz à cycle ouvert (OCGT) dans le calcul des tarifs est particulièrement controversée. Eskom a dépensé des sommes considérables pour ces générateurs coûteux, ajoutant des milliards de rands aux coûts pour les consommateurs.
Luttes financières en cours
Eskom a enregistré une perte de 24 milliards de rands au cours du dernier exercice et devrait enregistrer une autre perte cette année. Le service public est confronté à une montagne de dettes et à une perte prévue de shoppers et de ventes.
- Le rôle du Trésor nationwide: Alors que le Trésor nationwide resserre les rênes en raison d’un plan de sauvetage suite à une reprise de la dette, Eskom a besoin de plus de 75 jours sans délestage pour stabiliser ses funds.
Conclusion
Même si le redressement opérationnel d’Eskom est louable, le service public est confronté à de graves difficultés financières. Les hausses tarifaires continues, la migration des shoppers et les obligations de remboursement de la dette menacent sa durabilité. La transition vers les énergies renouvelables complique encore davantage l’avenir d’Eskom, nécessitant des décisions urgentes et stratégiques pour garantir sa viabilité à lengthy terme.
Alors qu’Eskom célèbre 75 jours sans délestage, la plus longue période depuis décembre 2021 à février 2022, une crise plus profonde se profile. Même si la compagnie nationale d’électricité a considérablement amélioré ses capacités de manufacturing, évitant les pannes et améliorant la disponibilité de l’énergie, elle est confrontée à un problème essential : la rentabilité.
Les difficultés financières d’Eskom
Malgré l’amélioration des performances opérationnelles, Eskom a du mal à réaliser des bénéfices. La demande pour son électricité diminue régulièrement à mesure que de nouveaux producteurs d’énergie entrent sur le marché. Cette state of affairs oblige Eskom à augmenter continuellement ses tarifs pour couvrir les ventes perdues et répondre aux besoins opérationnels. Cependant, ces hausses de prix risquent de faire fuir les shoppers, déclenchant potentiellement une « spirale de la mort » dans laquelle le service public se retirerait lui-même du marché.
Nato Oosthuizen, partenaire de BDO Afrique du Sud et skilled en énergies renouvelables, a souligné cette préoccupation, la qualifiant d’« éléphant bien éclairé dans la pièce » au milieu des progrès en matière de délestage.
- Affect sur le secteur privé: À mesure que le secteur privé devient une supply d’énergie de plus en plus implantée pour les ménages et les industries, la baisse des revenus d’Eskom deviendra de plus en plus évidente.
- Contrainte financière: « Cela pourrait entraîner des difficultés financières encore plus difficiles pour Eskom, et certaines décisions difficiles devront peut-être être envisagées, telles que la restructuration des entreprises et peut-être même des licenciements – une décision qui aurait des effets d’entraînement politiques », a noté Oosthuizen.
Un problème persistant
Oosthuizen n’est pas le premier à soulever ces inquiétudes. L’ancien PDG d’Eskom, Andre de Ruyter, a averti que les hausses annuelles massives des prix du service public finiraient par se retourner contre eux. Il a noté que les shoppers qui en ont les moyens s’éloigneront du réseau d’Eskom, laissant seuls ceux qui n’ont pas les moyens d’acheter l’électricité dépendre du service public. Ce scénario nécessite des hausses de prix mais conduit à des conséquences inévitables.
Eskom est déjà confrontée à une importante crise de non-paiement, les shoppers municipaux devant des dizaines de milliards de rands. Cette dette constitue un défi de taille et il n’est pas facile de la rétablir.
Le passage aux énergies renouvelables
L’skilled indépendant en énergie Mohammed Madhi a souligné que les sources d’énergie renouvelables sont de moins en moins chères, tandis qu’Eskom proceed d’augmenter les prix. Cette disparité désavantage Eskom, faisant de ses coûts de manufacturing d’électricité inefficaces un fardeau pour les shoppers.
- Perte de demande permanente: L’analyste énergétique Pieter Jordaan a noté une perte permanente de demande sur le réseau d’Eskom d’environ 1 500 MW, ce qui se traduit par 13 TWh, soit 6,5 % des ventes perdues en 2024.
Controverses tarifaires
Les demandes tarifaires d’Eskom visent à refléter le coût de manufacturing de l’électricité. Cependant, cet argument tarifaire reflétant les coûts s’est heurté à d’importantes résistances, notamment de la half de Nersa, le régulateur énergétique du pays. Nersa affirme qu’Eskom a abusé de cette notion dans le cadre de la méthodologie tarifaire actuelle.
- Compte de compensation réglementaire (RCA): Dans le cadre du système actuel, Eskom peut demander de futures hausses tarifaires en fonction des coûts opérationnels et des revenus de vente projetés. La RCA surveille ces coûts et revenus et les équilibre. Cependant, compte tenu de la state of affairs financière d’Eskom, la RCA a toujours favorisé le service public, ce qui a conduit à des hausses de tarifs annuelles plus élevées.
- Augmentations récentes: Dans un contexte de délestage file et d’une profonde crise financière, Nersa a approuvé des hausses tarifaires de plus de 18 % pour 2023/24 et de 12 % pour 2024/25.
Critiques des events prenantes
Les events prenantes soutiennent que la RCA n’encourage pas une utilisation efficace de la capacité de manufacturing. Nersa et d’autres critiques affirment qu’Eskom a abusé du mécanisme de récupération.
- Coûts du BCGT: L’inclusion des coûts des generators à gaz à cycle ouvert (OCGT) dans le calcul des tarifs est particulièrement controversée. Eskom a dépensé des sommes considérables pour ces générateurs coûteux, ajoutant des milliards de rands aux coûts pour les consommateurs.
Luttes financières en cours
Eskom a enregistré une perte de 24 milliards de rands au cours du dernier exercice et devrait enregistrer une autre perte cette année. Le service public est confronté à une montagne de dettes et à une perte prévue de shoppers et de ventes.
- Le rôle du Trésor nationwide: Alors que le Trésor nationwide resserre les rênes en raison d’un plan de sauvetage suite à une reprise de la dette, Eskom a besoin de plus de 75 jours sans délestage pour stabiliser ses funds.
Conclusion
Même si le redressement opérationnel d’Eskom est louable, le service public est confronté à de graves difficultés financières. Les hausses tarifaires continues, la migration des shoppers et les obligations de remboursement de la dette menacent sa durabilité. La transition vers les énergies renouvelables complique encore davantage l’avenir d’Eskom, nécessitant des décisions urgentes et stratégiques pour garantir sa viabilité à lengthy terme.