La Chine installe une quantité file d’énergies renouvelables en 2024, selon les données
par les rédacteurs de l’AFP
Pékin (AFP), 21 janvier 2025
La Chine a installé une quantité file d’énergie renouvelable l’année dernière, ont montré mardi les données de l’Administration nationale de l’énergie (NEA).
Le pays est le plus grand émetteur mondial de gaz à effet de serre, selon les scientifiques, à l’origine du réchauffement climatique et du changement climatique.
Pékin s’est engagé à ramener les émissions de carbone à un pic d’ici 2030 et à zéro d’ici 2060.
La Chine, deuxième économie mondiale, a ajouté environ 277 gigawatts (GW) d’énergie solaire l’année dernière, soit une augmentation par rapport aux 217 GW ajoutés l’année précédente, a indiqué la NEA dans un communiqué.
Elle a également augmenté sa manufacturing d’énergie éolienne de près de 80 GW, selon les données, soit une légère hausse par rapport aux près de 76 GW ajoutés en 2023.
La capacité totale installée d’énergie solaire et éolienne était respectivement d’environ 887 GW et 521 GW.
Le président Xi Jinping a fixé pour 2020 un objectif d’set up d’au moins 1 200 GW de capacité solaire et éolienne d’ici 2030.
La Chine a dépassé cet objectif l’année dernière, près de six ans plus tôt que prévu, selon les données de la NEA publiées en août.
Il a également construit près de deux fois plus de capacité éolienne et solaire que tous les autres pays réunis, selon une étude publiée en juillet.
Pékin a investi plus de 50 milliards de {dollars} dans de nouvelles capacités d’approvisionnement en énergie solaire entre 2011 et 2022, selon l’Agence internationale de l’énergie.
L’industrie solaire a également bénéficié de l’accès à des matières premières bon marché, de capitaux facilement disponibles auprès des banques publiques et d’une énorme main-d’œuvre en ingénierie.
La Chine reste fortement dépendante du charbon malgré l’set up de capacités d’énergie renouvelable à une vitesse file.
Mais certains signes indiquent qu’elle pourrait s’éloigner des combustibles fossiles.
Les permis de manufacturing d’électricité au charbon ont chuté de 83 pour cent au premier semestre de l’année dernière et aucun nouveau projet de manufacturing d’acier à base de charbon n’a été approuvé au cours de la même période.
Liens connexes