Le régulateur nucléaire sud-africain a donné son feu vert à la société publique Eskom pour exploiter pendant deux décennies supplémentaires l’une des deux unités de la seule centrale nucléaire du continent. Cette décision intervient alors que l’approvisionnement en électricité du pays reste précaire.
Prolongation accordée à Koeberg
Le régulateur nucléaire nationwide (NNR) a accordé une licence d’exploitation à l’unité 1 de la centrale de Koeberg, d’une puissance de 1 940 mégawatts, lui permettant de fonctionner jusqu’en juillet 2044. Le directeur général de NNR, Ditebogo Kgomo, a fait cette annonce lors d’un level de presse lundi. Située sur la côte atlantique, à environ 27 kilomètres au nord du Cap, la première unité de Koeberg a été achevée en 1984, suivie de la deuxième unité en 1985.
Une décision vitale pour Eskom
Cette extension constitue un soulagement considérable pour Eskom, dont les centrales, alimentées principalement au charbon, sont sujettes à de fréquentes pannes, entraînant des coupures d’électricité file ces dernières années. Koeberg a la réputation d’être l’une des centrales les plus fiables d’Eskom, même si un programme de rénovation de l’set up, prévu depuis 2010, a connu de nombreux retards.
Défis et opposition
Koeberg a également dû faire face à l’opposition des groupes environnementaux. Le ministre des Ressources minérales et pétrolières, Gwede Mantashe, qui supervisait alors l’énergie, a notamment renvoyé le représentant de la communauté Peter Becker du conseil d’administration de la NNR, invoquant un conflit d’intérêts. Ce licenciement a ensuite été jugé illégal par la Cour suprême du pays.
En 2022, une mission d’évaluation par les pairs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a reconnu certains progrès dans la préparation de l’exploitation sûre à lengthy terme de Koeberg. Elle a toutefois exhorté la course de la centrale à mettre en œuvre plusieurs mesures pour garantir la sécurité proceed de la centrale.
L’avenir de l’Unité 2
La décision concernant la prolongation de l’unité 1 est arrivée à level nommé. Eskom avait auparavant obtenu l’autorisation de séparer les calendriers d’exploitation des deux unités de Koeberg. Alors que la licence de l’unité 1 expirera le 21 juillet 2024, l’unité 2 peut continuer à fonctionner jusqu’au 9 novembre 2025, avant de devoir également être renouvelée. Le régulateur a reporté sa décision sur l’unité 2, comme l’a noté Kgomo.
La prolongation de la licence de l’Unité 1 constitue une étape cruciale pour stabiliser l’approvisionnement énergétique de l’Afrique du Sud et garantir la fiabilité de l’une de ses principales installations de manufacturing d’électricité.
Le régulateur nucléaire sud-africain a donné son feu vert à la société publique Eskom pour exploiter pendant deux décennies supplémentaires l’une des deux unités de la seule centrale nucléaire du continent. Cette décision intervient alors que l’approvisionnement en électricité du pays reste précaire.
Prolongation accordée à Koeberg
Le régulateur nucléaire nationwide (NNR) a accordé une licence d’exploitation à l’unité 1 de la centrale de Koeberg, d’une puissance de 1 940 mégawatts, lui permettant de fonctionner jusqu’en juillet 2044. Le directeur général de NNR, Ditebogo Kgomo, a fait cette annonce lors d’un level de presse lundi. Située sur la côte atlantique, à environ 27 kilomètres au nord du Cap, la première unité de Koeberg a été achevée en 1984, suivie de la deuxième unité en 1985.
Une décision vitale pour Eskom
Cette extension constitue un soulagement considérable pour Eskom, dont les centrales, alimentées principalement au charbon, sont sujettes à de fréquentes pannes, entraînant des coupures d’électricité file ces dernières années. Koeberg a la réputation d’être l’une des centrales les plus fiables d’Eskom, même si un programme de rénovation de l’set up, prévu depuis 2010, a connu de nombreux retards.
Défis et opposition
Koeberg a également dû faire face à l’opposition des groupes environnementaux. Le ministre des Ressources minérales et pétrolières, Gwede Mantashe, qui supervisait alors l’énergie, a notamment renvoyé le représentant de la communauté Peter Becker du conseil d’administration de la NNR, invoquant un conflit d’intérêts. Ce licenciement a ensuite été jugé illégal par la Cour suprême du pays.
En 2022, une mission d’évaluation par les pairs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a reconnu certains progrès dans la préparation de l’exploitation sûre à lengthy terme de Koeberg. Elle a toutefois exhorté la course de la centrale à mettre en œuvre plusieurs mesures pour garantir la sécurité proceed de la centrale.
L’avenir de l’Unité 2
La décision concernant la prolongation de l’unité 1 est arrivée à level nommé. Eskom avait auparavant obtenu l’autorisation de séparer les calendriers d’exploitation des deux unités de Koeberg. Alors que la licence de l’unité 1 expirera le 21 juillet 2024, l’unité 2 peut continuer à fonctionner jusqu’au 9 novembre 2025, avant de devoir également être renouvelée. Le régulateur a reporté sa décision sur l’unité 2, comme l’a noté Kgomo.
La prolongation de la licence de l’Unité 1 constitue une étape cruciale pour stabiliser l’approvisionnement énergétique de l’Afrique du Sud et garantir la fiabilité de l’une de ses principales installations de manufacturing d’électricité.