Eskom Era a exprimé ses inquiétudes concernant les demandes de licences commerciales de groupes privés, avertissant que de telles démarches pourraient entraîner des hausses de prix importantes pour ses purchasers restants. Les objections de l’entreprise ont été présentées lors d’une viewers publique du sous-comité de l’électricité de la Nersa le jeudi 18 juillet, soulignant l’influence potentiel sur le fournisseur d’électricité déjà sous pression.
Objections et préoccupations
Mohlago Masekela, responsable des providers juridiques d’Eskom, a expliqué la place de l’entreprise contre l’octroi de ces licences. Elle a fait valoir que permettre aux négociants privés d’opérer dans les mêmes zones qu’Eskom contreviendrait aux règles existantes fixées par la Nersa en 2020. Ces règles interdisent à plusieurs titulaires de licence de fournir de l’électricité à la même zone, sauf dans les cas d’héritage. Les factors clés des directives de la Nersa sont les suivants :
- Les titulaires de licence ne peuvent pas approvisionner la même zone ou les mêmes purchasers dans la zone de fourniture d’un autre titulaire de licence.
- Un titulaire de licence ne peut pas électrifier les utilisateurs finaux dans une zone admissible simplement pour « pré-réserver » cette zone.
- Les litiges relatifs aux zones électrifiées non autorisées après la fourniture sont interdits.
- Il est interdit de fournir une zone sous licence sans l’approbation de Nersa.
- L’électrification des zones municipales rezonées est restreinte.
- Les circumstances de fournisseur exclusif pour la fourniture d’électricité sont interdites.
Masekela a souligné : « Eskom Holdings s’oppose aux règles approuvées et émises par la Nersa, qui interdisent à deux ou plusieurs titulaires de licence d’approvisionner la même zone. »
Conséquences potentielles
Eskom craint que l’octroi de ces licences ne conduise à une « sélection sélective » des purchasers, les négociants privés pouvant cibler les gros consommateurs d’électricité et les purchasers bilatéraux, laissant les purchasers résidentiels et les petits purchasers commerciaux à Eskom uniquement. Cela pourrait perturber le développement efficace et sturdy des infrastructures électriques.
Une demande mentionne explicitement l’évitement des purchasers résidentiels et des petits purchasers commerciaux, ce qui, selon Eskom, pourrait mettre à mal le modèle de subvention croisée actuellement en place. « Si un groupe de purchasers contributeurs est retiré de cette base de subvention croisée, cela exercera une pression supplémentaire sur les purchasers restants », a noté Eskom.
La volonté de collaboration d’Eskom
Malgré ses objections, Eskom a exprimé sa volonté de travailler avec Nersa pour réévaluer les règles et garantir une concurrence équitable sans compromettre ses opérations. Masekela a réitéré : « Eskom est disposé et disponible pour travailler avec Nersa ou pour prendre half à un processus de réévaluation des règles. »
La spirale de la mort imminente
Les consultants en énergie ont depuis longtemps mis en garde contre la « spirale mortelle » potentielle d’Eskom en raison de la concurrence accrue et des inefficacités internes. L’essor des projets privés d’énergie solaire et renouvelable représente un risque essential pour la clientèle d’Eskom. L’ancien PDG d’Eskom, André de Ruyter, a déjà prévenu que les demandes fréquentes de hausses tarifaires importantes de la half de l’entreprise feraient fuir les purchasers, ne laissant derrière eux que ceux qui ne peuvent pas se permettre d’autres options.
La state of affairs difficile d’Eskom est aggravée par une crise de non-paiement, avec des dettes de plusieurs dizaines de milliards de rands dues par les purchasers, en particulier les municipalités. Le recouvrement de cette dette reste un défi de taille. Mohammed Madhi, skilled indépendant en énergie, a noté que même si les sources d’énergie renouvelables deviennent moins chères, la hausse des prix d’Eskom impose des prices supplémentaires aux purchasers.
Un appel à une réforme stratégique
Avec l’arrivée de négociants privés sur le marché, Eskom doit relever le défi de conserver sa clientèle tout en remédiant aux inefficacités. L’analyste indépendant du secteur de l’énergie Pieter Jordaan a souligné une baisse permanente de la demande sur le réseau d’Eskom, qui se traduit par une perte de ventes importante.
Alors que le paysage énergétique sud-africain évolue, l’avenir d’Eskom dépend de sa capacité à s’adapter et à se réformer. Les avertissements de l’entreprise sur les hausses de prix soulignent le besoin pressing d’ajustements stratégiques pour rester compétitif et sturdy dans un marché de l’énergie de plus en plus décentralisé.
Eskom Era a exprimé ses inquiétudes concernant les demandes de licences commerciales de groupes privés, avertissant que de telles démarches pourraient entraîner des hausses de prix importantes pour ses purchasers restants. Les objections de l’entreprise ont été présentées lors d’une viewers publique du sous-comité de l’électricité de la Nersa le jeudi 18 juillet, soulignant l’influence potentiel sur le fournisseur d’électricité déjà sous pression.
Objections et préoccupations
Mohlago Masekela, responsable des providers juridiques d’Eskom, a expliqué la place de l’entreprise contre l’octroi de ces licences. Elle a fait valoir que permettre aux négociants privés d’opérer dans les mêmes zones qu’Eskom contreviendrait aux règles existantes fixées par la Nersa en 2020. Ces règles interdisent à plusieurs titulaires de licence de fournir de l’électricité à la même zone, sauf dans les cas d’héritage. Les factors clés des directives de la Nersa sont les suivants :
- Les titulaires de licence ne peuvent pas approvisionner la même zone ou les mêmes purchasers dans la zone de fourniture d’un autre titulaire de licence.
- Un titulaire de licence ne peut pas électrifier les utilisateurs finaux dans une zone admissible simplement pour « pré-réserver » cette zone.
- Les litiges relatifs aux zones électrifiées non autorisées après la fourniture sont interdits.
- Il est interdit de fournir une zone sous licence sans l’approbation de Nersa.
- L’électrification des zones municipales rezonées est restreinte.
- Les circumstances de fournisseur exclusif pour la fourniture d’électricité sont interdites.
Masekela a souligné : « Eskom Holdings s’oppose aux règles approuvées et émises par la Nersa, qui interdisent à deux ou plusieurs titulaires de licence d’approvisionner la même zone. »
Conséquences potentielles
Eskom craint que l’octroi de ces licences ne conduise à une « sélection sélective » des purchasers, les négociants privés pouvant cibler les gros consommateurs d’électricité et les purchasers bilatéraux, laissant les purchasers résidentiels et les petits purchasers commerciaux à Eskom uniquement. Cela pourrait perturber le développement efficace et sturdy des infrastructures électriques.
Une demande mentionne explicitement l’évitement des purchasers résidentiels et des petits purchasers commerciaux, ce qui, selon Eskom, pourrait mettre à mal le modèle de subvention croisée actuellement en place. « Si un groupe de purchasers contributeurs est retiré de cette base de subvention croisée, cela exercera une pression supplémentaire sur les purchasers restants », a noté Eskom.
La volonté de collaboration d’Eskom
Malgré ses objections, Eskom a exprimé sa volonté de travailler avec Nersa pour réévaluer les règles et garantir une concurrence équitable sans compromettre ses opérations. Masekela a réitéré : « Eskom est disposé et disponible pour travailler avec Nersa ou pour prendre half à un processus de réévaluation des règles. »
La spirale de la mort imminente
Les consultants en énergie ont depuis longtemps mis en garde contre la « spirale mortelle » potentielle d’Eskom en raison de la concurrence accrue et des inefficacités internes. L’essor des projets privés d’énergie solaire et renouvelable représente un risque essential pour la clientèle d’Eskom. L’ancien PDG d’Eskom, André de Ruyter, a déjà prévenu que les demandes fréquentes de hausses tarifaires importantes de la half de l’entreprise feraient fuir les purchasers, ne laissant derrière eux que ceux qui ne peuvent pas se permettre d’autres options.
La state of affairs difficile d’Eskom est aggravée par une crise de non-paiement, avec des dettes de plusieurs dizaines de milliards de rands dues par les purchasers, en particulier les municipalités. Le recouvrement de cette dette reste un défi de taille. Mohammed Madhi, skilled indépendant en énergie, a noté que même si les sources d’énergie renouvelables deviennent moins chères, la hausse des prix d’Eskom impose des prices supplémentaires aux purchasers.
Un appel à une réforme stratégique
Avec l’arrivée de négociants privés sur le marché, Eskom doit relever le défi de conserver sa clientèle tout en remédiant aux inefficacités. L’analyste indépendant du secteur de l’énergie Pieter Jordaan a souligné une baisse permanente de la demande sur le réseau d’Eskom, qui se traduit par une perte de ventes importante.
Alors que le paysage énergétique sud-africain évolue, l’avenir d’Eskom dépend de sa capacité à s’adapter et à se réformer. Les avertissements de l’entreprise sur les hausses de prix soulignent le besoin pressing d’ajustements stratégiques pour rester compétitif et sturdy dans un marché de l’énergie de plus en plus décentralisé.
